« Le Grand Tout » (long-métrage), réalisation Nicolas Bazz :

 

« À l’image de son titre, ce film a quelque chose d’immense […] les comédiens sont excellents et les décors ahurissants […] C’est une expérience en soi. »
« Si vous en doutiez : oui, cent fois oui, un cinéma de science-fiction français et de qualité est possible ! » 

Isabelle Motrot – Causette

 

« Attention pépite »

« vues cosmiques splendides » (…) un incroyable voyage à travers l’univers »

« Je suis sorti scotché »

Rue89

 

« Le Grand Tout a tout pour plaire […] Splendeur et poésie pure »

Benoît Leprince – Paris Match

 

« International sales company Media Luna New Films has acquired the sci-fi movie “The Big Everything” for the upcoming Berlin Film Festival’s European Film Market »

Variety

 

« Ambitieux […] Spectaculaire, étonnant. »

Guillaume Cannat – Autour Du Ciel, Le Monde

 

« C’est grandiose, et la bande-son est à la hauteur des images. »

« Jamais de la hard SF au cinéma ne nous avait fait voyager aussi loin. »

« Le casting est réussi et l’alchimie entre les comédiens fonctionne. »

Florence Porcel – La Galaxie de Florence Porcel

 

« Ce fantastique voyage spatial. »

« Vu en salle trois fois, c’est dire que j’ai aimé. »

Thierry Noisette –  Rue89

 

« Le résultat est bluffant. […] Le scénario vous emporte, aidé par le jeu des acteurs. »

« Ressemble à une adaptation d’un roman de Barjavel. […] Allez le voir. Même les initiés pourraient y apprendre quelque chose. »

Laurent Sacco – Futura-Sciences

 

« Le Grand Tout, ou comment se laisser aller à l’apesanteur sans quitter la terre […] de quoi vous ébouriffer entre ses images cosmiques qui laissent bouche bée et ce huis clos improbable au milieu de l’infini. »

Sandrine Vendel – Radio Nova

 

« Coup de coeur ciné. »

La rédaction de Virgin Radio

 

« Un film de SF intelligent, quelque part dans la lignée de 2001, l’odyssée de l’espace de Stanley Kubrick, Solaris d’Andreï Tarkovski, ou du premier Star Trek de Robert Wise. »

« Le Grand Tout est une expérience cinématographique à vivre. »

Bruno Paul – Yozone 

 

« L’occasion donc de découvrir quelque chose de différent […] et pourquoi pas un futur grand réalisateur… »

Zickma

 

« Ce film est excellent. Très excitant. De la superbe SF ! »

Science-Fiction Magazine

 

 

« J’avoue avoir été épatée. […] Rare. À voir. »

Unification France

 

« Le Grand Tout, ou la plus grande aventure du cinéma français depuis longtemps ? »

Mondociné

La Femme d’un Autre, mise en scène C. Cohen :

 

« Il y a le charme de Mata Gabin, de Laure Gouget, de Fiona Gélin, leur sensualité. Et puis les hommes tous à leur place. Un exercice de théâtre un peu long mais qui plaira sûrement à quelques amateurs! »

Jean Luc Jeener, Le Figaroscope

« Hombrecito », mise en scène Jacques Haurogné :

« Le conte musical allie références culturelles, rythmes traditionnels du tango, milonga… et composition contemporaine. Le texte et la musique se complètent, s’enrichissent, grâce à l’échange, au dialogue complice entre les musiciens (piano, flûte, violoncelle, guitare) et la comédienne. De l’émotion vibrante, de la finesse et du talent. »

« TTT: On aime passionnément »

Françoise Sabatier-Morel, Télérama

 

« L’Ensemble Almaviva, auquel se joint un comédien, ( Laure Gouget lors de la représentation que nous avons vu ), nous propose un magnifique spectacle, créé à partir de la nouvelle d’un des grands de la littérature argentine »

« A voir, et à revoir avec ses amis !!! »

C. Agosti-Gherban, -Assadem

« Les Deux Pieds dans le Bonheur », d’Erwin Zirmi, mise en scène Camille Simon :

 

« C’est une suite de gags (…) absolument irrésistibles qui s’enchaînent sans répit pendant une heure.
Une petite mention spéciale à Laure Gouget, qui est une « Agathe » charmeuse, inquiète, pétillante, drôle, le spectateur est sous le charme de cette comédienne extraordinaire. »

IDFM, Radio Enghien

« Dreyfus…L’Affaire », mise en scène Stéphane Russel :

 

« Trois raisons de voir la pièce : c’est bien écrit, c’est bien joué et c’est bien mis en scène dans une scénographie intelligente. »

« C’est superbement interprété par un David Arveiller qui incarne un Dreyfus remarquable, Laure Gouget est sa femme à la scène, elle a un jeu et un regard qui ne laissent pas indifférent, elle est poignante. »

Jean-Michel Gautier, Revue Spectacle

 

« Le texte dépeint cette personnalité hors du commun d’Alfred Dreyfus, dont s’empare David Arveiller, épaulé par Laure Gouget, qui joue le rôle de la femme de Dreyfus. (…) On reste bouche bée devant le professionnalisme de ces deux artistes et leur totale implication à nous faire vivre l’histoire de cet homme, victime d’une période sombre de notre histoire. Un spectacle à l’impact pédagogique et moral indéniable, un appel à la fraternité. Ne loupez pas ce très beau moment de théâtre vrai et profond. »

Vaucluse-matin

« Le Visiteur », mise en scène Jean-Claude Drouot :

 

« Le Visiteur se révèle une pièce marquante. Tout à la hauteur et en accord nuancé avec leurs rôles respectifs, les acteurs principaux furent secondés efficacement par Serge le Lay, en plastronnant lâche activiste, et Laure Gouget, en explosive tenace résistante. »

Journal Tageblatt, théâtre d’Esch (Luxembourg)

 

« C’est sous un tonnerre d’applaudissements et avec de fervents compliments qu’ont été salués les comédiens du « Visiteur », ce samedi soir, dans une Escapade bondée. »

« Les comédiens ont fait l’unanimité (…), et n’ont pas démérité pendant près des deux heures de spectacle : l’émotion a gagné l’assistance. Les spectateurs ont été séduits. »

La Voix Du Nord

« Mademoiselle Julie », mise en scène Jacques Dupont :

 

« En ce qui concerne ici la prestation du duo Laure Gouget-Christian Fromont, elle a, outre ses qualités indéniables qui laissent présager au couple une sacrée carrière, l’avantage de s’effectuer dans une petite salle, en osmose complète avec le public et, en y regardant de plus près, on s’aperçoit que c’était un souhait particulier de l’auteur, pour que la dimension psychanalytique omniprésente dans ce texte sublime, puisse étendre doucement ses sournoises ramifications dans la cohérence de l’intrigue à partager « au plus prés » des autres. Laure Gouget nous montre en quelques répliques, en feignant de promener sa belle indifférence sur la scène des Déchargeurs, l’étendue de ses pourtant jeunes connaissances en matière tragique : elle colle à la peau de Julie, elle est Julie, elle la respire, elle la transcende, l’éructe, en a parfois honte, elle toise, pleure, rechigne, drague, cligne, se soumet, se déchire, soupèse Jean, tonitrue contre lui à l’envi, se blottit, puis s’en va, complexe et grande dans l’épreuve et, le pire sans doute, nous laisse sans elle, dépités, après s’être pourtant abandonnée à lui. C’est presque ce qu’il y a de plus insupportable car comme chaque fois nous restons avec la même interrogation sur cette fameuse nuit de la Saint-Jean où, plus qu’humaine, elle a, suprême ironie, succombé parait-il à l’insu de son plein gré pour reprendre la formule antinomique qui semble tant la définir par défaut. Par amour, par plaisir, dérision ou tout simplement par ce défi si complexe qu’est l’ouverture de son corps et de son esprit déjà préparés au geste du rasoir qui l’emportera trop loin de nous à jamais? Allez savoir, si vous le pouvez. »

« Eblouissante Julie, extraordinaire Laure, belle et rebelle, beaucoup plus belle d’ailleurs que rebelle, votre chemin doit impérativement aller la croiser, vous pourrez alors dire que vous l’aviez vue dans un de ses premiers rôles. Etincelante comme Laure, faite aussi de ce métal si précieux! Une « prosatrice » de talent au service exclusif d’un texte si difficile. Un tout absolu à déguster sans aucune modération, comme Julie goûte d’ailleurs la vie, sa vie. Un exceptionnel neuf sur dix, pas loin de la perfection… »

Dionxu, BilletRéduc.com

« 20h50 », mise en scène I. Lévy :

 

« Laure Gouget a la grâce et la charmante candeur de son rôle. Campant une Pénélope vibrante et sensuelle, mutine et enfievrée, la jeune comédienne est épatante de justesse. Christian Formont est excellent en bellâtre fat, esclave de l’audimat. Ce spectacle plaisant et amusant  prouve-l’évidence mérite parfois d’être rappelée- qu’il vaut mieux être assis au théâtre que vautré devant sa télé. »

Catherine Robert, La Terrasse

 

« C’est cynique, drôle et jamais vulgaire. Simon Doniol-Valcroze dans le rôle de l’arroseur-arrosé est touchant. Christian Fromont est parfait dans le rôle du grand méchant loup. Quant à Laure Gouget, qui a tout d’une grande, elle va faire parler d’elle. »

Marie Céline Nivière,  Le Pariscope

 

« Pénélope (formidable Laure Gouget, talent à suivre), jeune comédienne amoureuse de Barnabé, a plaqué un boulot lucratif pour devenir scénariste. En vain. Jusqu’au jour où la jeune femme apprend qu’une boîte de production va développer un département fiction.. »

« En quelques jours elle découvre, côté coulisse, un monde cynique et surréaliste. »

Valérie Beck, Le Journal du Dimanche

 

« Avec les ingrédients de l’expérience, Ygal Lévy a concocté un plat drôle servi par une brochette d’acteurs performants. La délicieuse et talentueuse Laure Gouget y est pour beaucoup. Son charisme, sa grâce et son dynamisme vont en faire fondre plus d’un. »

Horizon Etudiant

« Poupées Russes » , mise en scène Christian Fromont :

 

« Salle bondée pour la dernière des Poupées Russes, un conte en musique. Une Hanselpoucetcendrillovska munie d’une poupée russe boulimique, qui, en échange de victuailles, fournit de l’aide à la petite princesse russe. L‘orchestre, grandit de manière inversement proportionnelle à la poupée : on entame le spectacle par un petit quatuor à cordes de Miaskovski*, et on finira par la Grande Porte de Kiev, qui sollicite un orchestre plus que costaud. »

« Dont les membres sont en mode « détente »: s’ils sont tout de noir vêtus, les femmes arborent des couettes et de jolis chouchous roses, alors que certains musiciens n’hésiteront pas à venir sur scène quelques traces de rouge à lèvres sur les joues, ou munis d’accessoires divers et variés. »

« Le spectacle n’est pas uniquement musical: en plus, une récitante, de magnifiques éclairages, et un fond vidéo, autrement plus réussi que les dernières expérimentations de l’orchestre en la matière, à Bercy: de magnifiques dessins vifs et colorés, extrêmement bien adaptés au conte, défilent en arrière plan. »

« La conteuse prend un plaisir non dissimulé à en rajouter un peu (le brochet est-il vraiment sensé s’exprimer avec la grâce et l’élégance d’un joueur de foot?) et à insérer de petits détails rocambolesques dans le conte « les petits animaux rassemblèrent, qui des noisettes, qui des baies sauvages, qui des fraises Tagada pour la petite princesse désemparée », qui font rire les mouflets, et les grands. Et le reste à l’avenant! Je suis un brin choquée par le papi russe doté d’un accent marseillais, mais ce n’est guère que mon intégrisme linguistique qui s’exprime. »

« L’orchestre n’est pas en reste. Mais si vous suivez ce blog un minimum sérieusement, vous aurez déjà compris que la majeure partie des musiciens de l’orchestre a suivi l’option Cirque au CNSM. Si certains des musiciens chargés d’incarner une poupée le font avec une relative sobriété, ce n’est certainement pas le cas du cor anglais (peut-être vexé de ne pouvoir jouer la tête en bas,suspendu aux ceintres) qui imite, avec brio, une poupée tout droit sortie du Sentier. Les petits monstres adorent. Quand son personnage réclame à manger, son voisin lui tend charitablement une botte de poireaux. »

« Belle performance de groupe, notamment sur les bruitages : demandez au prochain orchestre que vous croiserez d’imiter un cheval au galop ou les gazouillis d’oiseaux sylvestres, vous ne serez pas déçus. J’apprends plus tard, après enquête, que la plupart des interventions de l’orchestre (le poireau, le galop du cheval, etc.)ne sont pas intégrées dans la mise en scène: ce sont des improvisations spontanées de l’orchestre. Mais quel régal. »

« Un grand bravo au passage à ceux et celles qui ont conçu le spectacle, et n’ont pas cédé à la tentation d’insérer uniquement des tubes pour illustrer le conte, ainsi qu’au chef d’orchestre, Michael Güttler, un habitué de Wagner, qui semble prendre un réel plaisir à diriger ce spectacle pour enfants. »

Klariscope, Chroniquettes musicales